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Superbe spectacle offert par des skieurs sautant depuis le tremplin à piste synthétique.

Randonnée sur les hauteurs de la station de ski.

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Sur la route, via un sommet à 1600m, le camion chauffe pour la première fois (témoin allumé). Sur l'autoroute, nous nous faisons arrêter par la Police qui nous réclame la vignette. Nous l'avons collée "à la française", du mauvais côté. Ici, elle doit être apposée côté conducteur. Nous repartons sans même que l'on vérifie nos papiers.

21 juillet : Nous avions repéré un bon terrain de camping, sur les cartes et les infos envoyées par la communication touristique slovaque. Eurocamp. Nous arrivons devant d'immenses infrastructures à l'abandon (hôtel, boite de nuit, petites maisons à louer, magasin...). Des enfants se sont introduits sur les terrains de sport et jouent au basket.

Nous roulons jusqu'une proche station Spa. La station : un étang et un petit hôtel. Le camping, encore une fois, n'existe que sur la carte.

Nous continuons de descendre dans la vallée, via de luxueuses stations de ski. Certaines ont une belle architecture type station balnéaire "Deauville".

Arrivé en bas, ruralité et pauvreté. Les laissés pour compte de la croissance. Beaucoup de Roms dans des quartiers miteux, proches du bidonville. Ils nous font signe. Une question se pose : pourquoi ne pas passer la nuit dans ce quartier coloré et animé... oui, mais les enfants... risques ? peur ? Quelques prises de vue à l'arrache et nous continuons notre route.

4 22 juillet : Visite de la grotte de glace de Dobsinska. Lieu touristique, cher relativement au temps passé à l'intérieur. Nous avons la chance de passer pendant midi, nous n'attendons pas trop longtemps, et pouvons même bénéficier, au choix, d'une visite en polonais, ou slovaque.
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Au soir, non loin de Jaklvce, sur la rive, une "cabane café" propose de passer son terrain pour 1 euro la nuit... enfin, pour les français, c'est 2€. Nous passons une superbe soirée avec les pécheurs. Un homme attrape un serpent, il le montre aux enfants. Comme tout slovaque, respectueux de la nature, il le remet en liberté.

Habituelle veillée feu de camp et musique rock. Bières, glaces, le barman m'arnaque sur le prix. J'oublie de lui rendre un verre. Esprit gaulois.

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24 juillet : Visite de Kosice. Le coeur historique. Et les habitats plus récents.
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14 25 juillet : arrivée en Hongrie, sous la pluie. Le temps est très mauvais. Le pays semble beau, vignoble, marécages, des cigognes partout. Un train passe : nous sommes surpris de voir que les barrières sont actionnées manuellement par un garde-barrière.
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Aucune possibilié de bivouac : le temps a rendu impraticable les rares chemins, la région est marécageuse. Nous trouvons, par hasard, un terrain de camping. Désert. Les gens, même les jeunes, ne parlent que hongrois. Nous pouvons passer la nuit. L'endroit est très curieux, aménagé de statues en bois, et d'étranges bâtiments.

Nous n'arrivons pas à en savoir plus... Le lendemain, on nous fait comprendre que nous ne devons rien... sympa ! Du coup, nous souhaitons rester une nuit de plus, et visiter, à pied, les environs. Bel étang, giboyeuse forêt d'accacias. Nous revenons au soir, plus personne. La barrière est fermée à clé. Seuls.

Reste un homme, plus ou moins occupé à nettoyer ? qui attend que nous partions ? Totale incompréhension... nous levons le camp avec de grands signes de remerciements.

Nous roulons jusque Nyirbâtor. Le long de la route, nous apprécions les indications de localités totalement imprononçables. Nous trouvons un camping, flambant neuf. Il n'y a qu'une caravane hollandaise. Ambiance américaine, portail, surveillance par des vigiles avec matraques ! Le total grand luxe, les sanitaires sont chauffés (en juillet !). Nous avons du mal à communiquer avec la patronne, qui parle un très mauvais anglais avec un accent pourri. Le fait de camper offre l'accès aux installations thermales ! Et par erreur, on nous remet deux fois des pass.

Là encore, des spas high-tech. Accès par bracelet électronique aux vestiaires et diverses installations. Bains à bulles, eau chaude salée, bains de sels, sauna...

Nous restons une seconde nuit au camping (donc 3 fois accès aux spas !). Pendant la nuit, nous entendons un grand bruit, une branche d'arbre s'est écroulée dans le camping.

Le 28 juillet, nous quittons la Hongrie après une baignade matinale.

Contrôle "sérieux" à la douane, tout y passe. Passeports, on vérifie si les enfants répondent aux noms inscrits sur les papiers. Fini ? "Certificat d'immatriculation"... Nous échappons à la fouille. ouf !

Une fois passé la frontière, premier objectif : changer de l'argent et acheter une Rovignette. Pas si évident que ça, petit poste frontière, aucune station n'en vend.

Je fais le plein... ici il y a encore des pompistes. Nous aurons tout le loisir de découvrir comme ils sont maladroits.

Nous achetons une carte plus détaillée (Michelin peu utilisable en campagne, très incomplète)... repartons avec deux cartes et les indications détaillées par la caissière très sympathique, soucieuse de nous aider.

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Nous nous familiarisons avec la conduite roumaine. Aux feux, un routier nous interpelle. Je ne comprends rien. Il accélère, grille le feu et traverse le carrefour ! Gloups !

Tout de suite, nous changeons de monde. Voitures hippomobiles, les fameuses Dacia (R12), des bergers avec troupeaux, des gens tirant de l'eau au puits.

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29 juillet : En route, nous observons dans la plaine de belles roulottes. Bergers et leurs troupeaux. L'église de Marghita, en restauration. Nous y rencontrons le peintre Pop Ioan, qui dirige le chantier. Son travail est remarquable. Il nous permet d'accéder aux échaffaudages, nous offrant une vue inoubliable sur l'ensemble des fresques. 19
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Les champs de pétrole roumains. Nous choisissons, d'y stationner pour déjeuner. Quelle idée. Des hommes en armes ne tardent pas à arriver. Explications. Ils sont trés ravis de rencontrer des français : Surtout, que nous finissions notre repas avant de déplacer le camion !

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Les routes sont souvent mauvaises... Très mauvaises. Le transport scolaire est à la mesure des conditions de circulation.
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Le pays regorge d'églises et monastères, la plupart en rénovation ou en construction.

Les églises en bois, certaines datant du XVIIe siècle sont très nombreuses.

30 juillet : Nous faisons une pause dans un village. On nous ouvre une de ces anciennes églises. Quelle surprise, l'intérieur est entièrement recouvert de fresques, en bon état de conservation. Le gardien des lieux est aussi apiculteur. Il nous fait découvrir son travail.

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La plupart du temps, les églises traditionnelles ont été préservées lors de la construction d'un nouvel édifice. 29
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